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Chaquejour de nouvelles manifestations sont enregistrées sur le site, alors n'hésitez pas à venir découvrir et/ou à f aire vivre les initiatives dont vous avez connaissance et d'en parler autour de vous.Chaque semaine, nous sommes nombreux à nous poser la même question : Mais que faire ce week-end à Bourges et dans le département du Cher ?INFOPTIMUM est là pour vous Vouspouvez décider de faire un weekend en amoureux, gastronomique, spa, œnologique ou insolite dans un hébergement original comme la cabane ou la bulle. Vous ne manquerez pas de vous balader en couple dans les rues de Bourges avec sa cathédrale et le Palais Jacques-Cœur ou encore les bords de l’Yèvre. Aujourdhui Ce week-end Ce mois-ci. A partir du Jusqu'au Thème. Rechercher Effacer. Chargement en cours Veuillez patienter quelques secondes Toutes les manifestations à venir. Besoin d'annoncer un évènement ? Agenda des sorties à Bourges (Cher - 18). Toutes les dates des évènements (animation, atelier, brocante, cinéma, concert, conference, enfant, exposition, FestivalCountry Bourges : du 23 au 25 septembre 2022 Parc des Expositions de Bourges Un week-end en hommage à la culture américaine et au far-west. Au programme, des initiations, des concerts AloïseSauvage et Pomme donneront ce vendredi soir, au Palais d’Auron, le concert de clôture du Printemps de Bourges Inouïs, mini-festival spécial découvertes qui Site De Rencontre 100 Pour 100 Gratuit Et Sérieux. Du Berry, nous ne connaissions rien ou presque, avouons-le. Alors quoi de mieux que de commencer par une visite de sa capitale, Bourges ? Loin d’être déçus par cette cité médiévale au patrimoine impressionnant, nous nous sommes également laissés séduire par son côté nature. Notre curiosité n’étant jamais satisfaite, nous avons poussé au-delà des murs de la cité pour visiter le temps d’un long week-end les environs de Bourges, pleine de pépites naturelles et historiques. Petit tour d’horizon de cette belle visite, avant de vous livrer nos conseils pour découvrir que voir, que faire à Bourges et ses environs. Visite du centre historique de Bourges et sa cathédrale L’image de Bourges, ce qui fait sa réputation au niveau national, c’est avant tout sa majestueuse cathédrale. Souvent citée parmi les 10 plus belles cathédrales de France, Saint-Etienne de Bourges, classée au patrimoine mondial de l’Unesco nous a impressionné par l’harmonie de ses proportions. Ce n’est pas la plus grande, ou la plus ancienne, mais totalement intégrée dans le centre ville, elle donne une impression de profondeur vraiment étonnante et possède de superbes vitraux. Dès notre arrivée à Bourges, c’est vers elle que nous avons inexorablement été attirés, comme le point central incontournable de cette ville médiévale. Inaugurée en 1230, elle fêtera bientôt ses 800 ans. S’imaginer ce majestueux édifice à cette époque, alors que les villes étaient rares et les bâtiments en pierre l’exception, cela donne le vertige. J’essaie de m’imaginer comme un paysan de l’époque, n’ayant vu de ma vie que des maisons en torchis et bois, arriver devant la cathédrale Saint-Etienne de Bourges avec ses arcs boutants, ses gargouilles, sa rosace de 9 m… Une démonstration de puissance hors norme, apparaissant probablement comme mystique, et c’était probablement bien le but de l’Église. Je poursuis alors mon périple imaginaire dans le centre historique de Bourges, longeant les remparts de la ville, protégeant le bourg contre ses ennemis. Les maisons à pans de bois encore bien présentes aujourd’hui aident à se projeter dans le temps, me rendant admiratif du savoir faire incroyable déployé pour faire traverser les siècles à ces bâtisses. Cette projection temporelle est devenue complète le temps d’un week end, notre séjour ayant lieu pendant les fêtes médiévales de la ville. Nous avons ainsi vu surgir des chevaliers, bouffons et marchands au pied de la cathédrale, se donnant en spectacle, ou participant simplement à la fête. Visite des marais de Bourges Pour terminer ce voyage dans le temps, je vous invite à imaginer les alentours de Bourges au moyen-age. A cette époque, le paysage était bien différent. Les cours d’eau n’étaient pas maitrisés, canalisés, parsemés de barrages comme aujourd’hui. Les rivières s’épandaient dans les plaines chaque hiver, sortant naturellement de leur lit. Nous avons oublié qu’une crue, c’est un phénomène on ne peut plus naturel et fréquent pour un cours d’eau sauvage. Aussi, les marécages étaient très répandus dans certaines régions. Si nous les avons asséché dans la plupart des cas en France, ils étaient une contrainte importante. Mais aussi un moyen de défense… Ainsi Bourges était entouré par des marais sur une partie de son territoire, formant une barrière naturelle face aux envahisseurs. Mais ces zones humides n’étaient pas sans poser de soucis, avec des risques d’inondation, des vecteurs de maladies potentielles, notamment la peste. C’est au VIIIe siècle que les premières traces d’aménagement sont recensées, avec l’endiguement de l’Yèvre et la Voiselle, les principaux cours d’eau traversant marais. Ce sont les moines qui ont d’abord œuvré à l’aménagement des marais de Bourges, possédant les connaissances nécessaires, transmises par écrit par d’autres communautés religieuses. A la Renaissance, le marais devient progressivement un espace de maraichage, usage toujours en œuvre aujourd’hui. Les marais de Bourges comptent aujourd’hui 1500 parcelles s’étendant à l’est de la ville, sur 135 Ha. Si la production était destinée à la vente, les parcelles se sont progressivement transformées en petits jardins particuliers au XIXe siècle, où les Berruyers viennent cultiver leur petit lopin de terre et se détendre. Le marais de Bourges côté nature Nous avons eu la chance de visiter les marais de Bourges en compagnie de Frédéric, un animateur nature passionné de botanique entre autres !. Si se promener dans le marais est en soit un moment agréable, surtout par une journée très chaude et ensoleillée comme c’était le cas, le découvrir avec un angle naturaliste apporte une toute autre dimension. Il faut dire que nous sommes férus de nature, mais je suis sûr que même des personnes moins sensibles à ce thème seraient captivée par cette visite. Fabrication d’une flute de pan en renouée du japon, d’un hochet végétal traditionnel, d’un lutin en argile, pêche des petites bêtes aquatiques, capture de libellule, sont autant d’activités qui ont captivé Hélio de bout en bout. Et ce n’est pas une mince affaire de maintenir l’attention d’un enfant de 4 ans pendant près de 3 heures ! Mais s’il y avait toutes ces petites animations attractives autant pour les enfants que les adultes, c’est aussi dans des explications plus poussées que nous avons pu saisir toute la dimension patrimoniale du marais, ses enjeux, son histoire, son intérêt. A travers l’observation de sa faune et sa flore, nous avons pu saisir à quel point ce milieu particulier est un excellent prétexte pour observer notre environnement et notre impact sur celui-ci. Loin des discours alarmistes ou moralisateurs, simplement en observant les détails, en s’émerveillant des choses simples, on peut saisir la fragilité et la complexité de nos interactions avec la nature. Par exemple, le fait d’observer telle espèce de poisson permet d’indiquer qu’un cours d’eau est de très bonne qualité, ou que la présence de telle plante n’a rien de naturel, car importée par l’Homme. Ou encore voir qu’une pêche aux petites bêtes permet de constater leur déclin sur ces dernières décennies… L’observation attentive, de manière ludique si possible, mène à la compréhension. Et la compréhension mène à l’émerveillement et au respect, j’en suis intimement persuadé. Les trésors nature du Cher, à moins d’une heure de voiture de Bourges Cette parenthèse nature au cœur de la ville de Bourges nous a donné envie d’en découvrir davantage. D’aller voir si le Cher offrait des coins nature aussi intéressants. Ce qui nous est apparu instantanément, c’est que l’eau était au centre des espaces naturels que nous avions envie de découvrir. Quoi de plus normal pour un département qui porte le nom d’une rivière ? Le lac de Virlay Pour commencer cette parenthèse nature, un lac… Artificiel. Paradoxal n’est-ce pas ? Certes, mais nous avons choisi de nous y rendre car bien qu’il soit le fruit d’un aménagement par l’Homme, le lac de Virlay n’en demeure pas moins un espace naturel sensible classé natura 2000 très intéressant, et beau ! Avant le lac de Virlay, une carrière de granulats recouvrait le site. C’était un peu moins intéressant d’un point de vue environnemental… Ce lac, c’est donc l’histoire d’une reconquête de la nature comme nous les aimons. Aujourd’hui, cet espace est un exemple intéressant de cohabitation entre divers usages. Sur les îles, nous avons pu observer des hérons nicher sans être dérangés. D’autres espèces d’oiseaux viennent se poser ici, les zones humides étant toujours des lieux importants pour l’avifaune. Des prairies s’étendent sur les rives du lac, laissant la place à de nombreux végétaux et insectes. Un projet de golf pourrait venir perturber ce fragile équilibre, espérons qu’il ne verra pas le jour. Quand on sait l’impact que peut avoir un golf, notamment avec l’utilisation de produits phytosanitaires juste à côté d’un cours d’eau… Ce qui amène aux autres usages du lac. Une base de loisirs nautique bien intégrée éco-construction permet de s’initier à divers sports d’eau non motorisés, favorisant une cohabitation Homme nature équilibrée. La pêche est également possible et bien sûr la promenade. Un exemple intéressant pour trouver un équilibre nature / loisirs ! Le bocage de Noirlac Autant vous l’avouer, si nous sommes venus dans ce coin du Cher, ce n’était pas en priorité pour le lac de Virlay. Le lac, c’était le bonus pour se poser en fin de journée dans un très beau cadre nature. Nous sommes avant tout venus pour visiter l’abbaye de Noirlac, à quelques kilomètres de là, et ses bocages. Le bocage, c’était la norme jusqu’à la révolution agricole d’après guerre. L’agriculture se faisait sur de petites parcelles entourées de haies vives, que ce soient des cultures ou des prairies. Après la seconde guerre mondiale, la demande de production a fortement augmenté. La mécanisation répondant à cette demande a induit de plus grandes parcelles et les haies ont été progressivement arrachées. Il y avait même des primes pour cela… Aujourd’hui, c’est l’inverse, les bocages sont l’exception et il existe des primes pour replanter les haies. Pourquoi ? Parce que nous savons maintenant à quel point elles sont importantes elles permettent de limiter l’érosion des sols et de retenir l’eauelles favorisent la biodiversité insectes, plantes, oiseaux, petits mammifères… et donc indirectement la pollinisation des cultures et la richesse des solsdans une moindre mesure, ce sont des remparts contre le vent en bordure de parcelle A Noirlac, les moines de l’abbaye possédaient des terres agricoles qu’ils faisaient exploiter une toute petite partie leur était accessible vu qu’ils avaient interdiction de sortir de l’enceinte de l’abbaye. Ce système a permis de conserver le paysage. Aujourd’hui, les parcelles, si elles sont un peu plus grandes qu’au moyen-age, ont conservé leur caractère d’origine. Ce paysage bocager est protégé comme espace naturel sensible et le département du Cher a acquis une partie des terrains. De fait, il est possible de visiter les bocages et un sentier pédagogique est aménagé. On peut donc se promener dans le bocage de Noirlac en autonomie, mais je pense que cela ne présente pas un très grand intérêt sans être accompagné d’un-e guide naturaliste. Car d’une part cela nous a permis d’aller dans des endroits inaccessibles en se baladant seul en particulier d’aller jusqu’aux superbes berges sauvages du Cher, d’autre part cela nous a offert un éclairage insoupçonné sur l’histoire des bocages et leur importance écologique. Il n’y a pas toujours une énorme plus-value à être accompagné par un guide, mais pour le coup, je pense que c’est quasiment indispensable. Les paysages ne sont pas waow », tout se cache dans les détails. Une fleur par ici, une mare par là, un coupe en trogne, des anecdotes historiques… Au final, c’est cette interaction Homme / nature, cet équilibre souvent perdu qui m’a le plus intéressé. Un modèle agricole intéressant dont nous ferions bien de nous inspirer pour l’adapter aux enjeux actuels. Le bec d’Allier, confluence entre l’Allier et la Loire A l’extrémité est du Berry, l’Allier coule paisiblement, marquant la frontière avec la Bourgogne. Puis l’Allier devient la Loire, poursuivant son chemin jusque chez nous, en Loire Atlantique avec de se jeter dans l’océan, formant le plus long fleuve de France. L’Allier devient la Loire au bec d’Allier, qui est en fait le lieu de confluence entre les deux cours d’eau. La confluence entre deux rivières, c’est souvent la promesse d’un beau spectacle. Quand elle se fait dans un environnement naturel, cela devient carrément impressionnant. Nous qui somment irrémédiablement attirés par les cours d’eau, nous nous sommes naturellement dirigés vers le bec d’Allier pour nous y poser, observer le décorum dans un espace naturel sensible et même y faire trempette, la chaleur aidant. C’est tout simplement notre coup de cœur côté nature dans le Cher, avec le village d’Apremont situé juste à côté. Le parc floral d’Apremont Apremont sur Allier dont je parlerai un peu après dans la partie patrimoine, possède un superbe parc floral. Un parc floral, ce n’est pas vraiment un lieu nature. Mais je vais tricher un peu pour vous le présenter tout de même, tant il est beau et vaut qu’on y flâne. Je ne suis pas spécialement fan de jardins et parcs, leur préférant leurs alter-egos naturels. Mais pour le coup, le parc floral d’Apremont sur Allier, labellisé jardin remarquable se dénote par sa cohérence et sa sobriété maitrisée. Une sorte de parc chic où l’on ne fait pas dans l’ostentatoire, bien que certaines parties débordent de couleurs. Pour ne rien gâcher, le parc floral se situe à flanc de côteaux, offrant de belles vues sur l’Allier et le village d’Apremont. Les trésors patrimoniaux des environs de Bourges à moins d’une heure de voiture Le village d’Apremont sur Allier La transition est toute trouvée pour aborder le volet patrimoine de ce séjour dans le Berry côté Cher. Nous avons tellement adoré Apremont sur Allier et ses environs qu’ils auraient presque pu éclipser Bourges. Labellisé plus beau village de France, se balader dans ses ruelles, visiter les abords du château et boire un verre le long des rives sauvage de l’Allier fut un véritable plaisir. A tel point que nous avons consacré un article spécifique à Apremont sur Allier. Le château d’Ainay le Vieil Explorer le patrimoine historique d’une région sans visiter un château, c’est comme visiter Paris sans aller voir la tour Eiffel, c’est un non sens… Nous avons jeté notre dévolu sur le château fort d’Ainay le Vieil. Pourquoi ? Parce qu’il a la particularité d’être très bien conservé avec son enceinte fortifiée impressionnante, qu’il se visite, et qu’il propose également de beaux jardins. J’ai toujours eu une préférence pour les châteaux forts plutôt que les châteaux de la renaissance. Sans doute le petit garçon qui sommeille en moi rêve encore de chevaliers. Mais Ainay le Vieil est particulier puisqu’il conjugue les deux ! L’enceinte fortifiée date du moyen age, le château datant du 15e siècle, alors que dans l’enceinte, un château renaissance a vu le jour plus tardivement. Nous avons ainsi visité les bâtiments, arpenté le chemin de ronde et traversé les différentes périodes du château accompagnés d’une guide le visite n’est pas possible en autonomie. Notre fils s’est fait une joie d’embarquer épée et bouclier à l’entrée pour partir à l’assaut du château et passer une belle visite pendant que les grands écoutaient religieusement l’histoire d’Ainay le Vieil. Abbaye de Noirlac Dans la partie nature, je vous parlais du bocage de Noirlac, possédé initialement par les moines de l’abbaye du même nom. Eh bien leur abbaye est superbe ! C’est d’ailleurs pour elle que viennent la plupart des visiteurs, plus que le bocage. Elle se visite en autonomie ou guidée. Le cloitre, l’atmosphère des lieux invitent à l’introspection. Difficile d’imaginer la vie que pouvaient mener ces moines coupés du monde, faisant vœu de pauvreté, de silence et d’enfermement ils ne pouvaient pas sortir de l’enceinte de l’abbaye. La tuilerie de la Guerche sur l’Aubois Le patrimoine, ce n’est pas que de vieux bâtiments et une histoire lointaine. C’est aussi le patrimoine culturel, les savoirs faire artisanaux et industriels. A la Guerche sur l’Aubois, c’est un savoir faire particulier que nous avons eu l’occasion de découvrir, avec le CIAP la tuilerie. Cette ancienne tuilerie a été mise en scène pour faire découvrir à travers une exposition franchement bien faite, à l’intérieur même de l’ancien four. Le contexte joue beaucoup dans le plaisir de découvrir cette tuilerie, avec une ambiance intéressante pour une activité dont on ne soupçonnait pas l’existence avant cette visite. Il y a des choses comme cela auxquelles on ne prête pas forcément attention. Comment étaient et sont fabriquées briques et tuiles, quelle est l’histoire qui se cache derrière, le savoir faire, les matières premières. Je n’aurai pas forcément parié sur la visite d’un tel endroit pour éveiller mon intérêt, mais si ! Et même notre lémurien s’est intéressé au lieu, c’est dire si l’exposition est bien pensée. Dans la même idée, non loin de là, la halle de grossouvre – espace métal met en scène le savoir faire métallurgique des environs de Bourges. Si nous n’avons pas visité le lieu, il y a fort à parier que cela vous intéressera si vous êtes sensible au patrimoine industriel. Nature, histoire, ville, campagne, nous pouvons dire que ces 5 jours passés dans les environs de Bourges furent riches en découvertes. Vous l’aurez compris, ce premier aperçu est loin d’être exhaustif ou représentatif de ce que vous pourrez voir dans le Berry côté Cher. C’est donc un point de vue très personnel que nous avons partagé avec vous ! Guide pratique visiter Bourges et ses environs Que voir, que faire à Bourges ? Visiter la cathédrale Saint Étienne, l’incontournableArpenter les marais de Bourges, si possible accompagné d’un guide naturaliste, comme Frédéric ThélingeDécouvrir le centre historique de Bourges, notamment les rues Jacques Coeur et Bourbonnoux Visiter le palais Jacques CoeurExplorer les jardins de la ville Où dormir à Bourges ? Nous avons eu la chance de dormir aux chambres d’hôtes les bonnets rouges. Je dis la chance, car c’est vraiment le sentiment qui est ressorti après notre séjour dans ce bâtiment historique situé en plein centre de Bourges, à quelques minutes à pieds de la cathédrale. Les chambres sont décorées avec goût dans un style 19e, mais pas du tout vieillot, le calme est absolu et l’accueil très chaleureux. Une très bonne adresse pour un week-end à Bourges. Chambres d’hôtes les bonnets rouges Où manger à Bourges ? Restaurant la Gargouille En plus d’être bon, ce restaurant offre une vue incroyable sur la cathédrale. Littéralement situé à son pied, réservez absolument votre place en terrasse aux beaux jours ! Crêperie des remparts Oui, une crêperie à Bourges… Mais une bonne crêperie, parole de spécialiste. Une bonne adresse pour manger vite, bien et pas trop cher. Que voir, que faire dans les environs de Bourges ? Impossible de faire une liste exhaustive des visites à faire autour de Bourges, alors voici un simple résumé des lieux cités dans l’article, plus quelques bonus Abbaye de Noirlac et son bocage en visite guidée les samedis et dimanchesLac de VirlayChâteau d’Ainay le Vieil et ses jardinsApremont sur Allier et son parc floral, le pont canal du Guetin à proximitéLe bec d’Allier à CuffyLa basilique Notre Dame des Enfants à Châteauneuf sur Cher que nous avons croisée rapidementCIAP la tuilerieHalle Grossouvre – espace métalBonus 1 un petit tour en âne au pôle cheval à Lignières si vous avez un enfantBonus 2 nous n’avons pas visité, mais aurions aimé, la cathédrale de Linard qui semble très étonnante Ce voyage a été réalisé grâce au soutien de Berry province avec qui nous avons construit cet itinéraire nature et patrimoine dans les environs de Bourges. Vous pouvez consulter leur site internet pour préparer votre voyage dans le Berry, il est très complet ! Pour continuer ce voyage dans le Berry, vous pouvez lire notre article sur Apremont et le bec d’Allier

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